La formation en entreprenariat, un pari contre le chômage

L’entreprenariat fait partie des préoccupations majeures des politiques européens depuis une décennie. Pour beaucoup, c’est une solution pertinente contre l’avancée du chômage, notamment chez les jeunes. Cette culture de l’entreprenariat, très répandue aux Etats-Unis et au Canada, a montré ses preuves comme levier économique très efficace qui crée de la richesse et de l’emploi. Selon l’INSEE, en 2016, 554 000 entreprises ont été créées en France (une hausse de 6% par rapport à 2015). Cette croissance est commune à toutes les régions qui s’investissent également à leur niveau par le biais de projets régionaux afin de booster la création d’entreprise.

Promouvoir la culture de l’entreprenariat par la formation

Pour réussir ce pari, l’accent a été mis sur la formation d’une nouvelle génération d’étudiants pour leur inculquer la culture de la création d’entreprise. Plusieurs formations ont été créées, dans les universités tout comme dans les écoles de commerce et de gestion. Ces formations sont de niveaux différents : BTS, bac+3 et surtout masters. Une formation en création d’entreprise à Toulouse, ville étudiante par excellence, est une opportunité de choix pour lancer sa propre boite dans les meilleures dispositions.

Un contenu adapté avec une mention spéciale pour la culture de l’entreprise

Les formations disponibles en création d’entreprise s’articulent autour des compétences suivantes :

  • la conception de projets de création ou de développement d’entreprise ;
  • l’élaboration des plans d’action marketing et commerciaux à court, moyen et long terme ;
  • la maîtrise des enjeux et des risques financiers, sociaux, juridiques et environnementaux liés aux activités de l’entreprise ;
  • le management du personnel ;
  • la réalisation des actions de négociation, de représentation et de communication.

Outre ces compétences de base, la formation implique également l’acquisition de connaissances approfondies en informatique de gestion mais aussi la maîtrise des langues et l’ouverture sur l’environnement international.